En bref…
Mix-Cité est une associa- tion loi 1901 créée à Paris en 1997. Association fémi- niste, mixte, antisexiste et internationaliste, elle exi- ste aussi à Toulouse, Orlé- ans, Lille et Nantes. Créée à Rennes en novembre 2002, Mix-Cité revendique une réelle égalité entre hommes et femmes.

Ouvrages disponibles au prêt pour les adhérent.e.s de Mix-Cité Rennes

Publié le 26 juin 2007, mise à jour le 10 janvier 2011


Education

* Petites filles d’aujourd’hui : l’apprentissage de la féminité. Catherine Monnot. Editions Autrement, 2009.

Plus de trente ans après "Du côté des petites filles", comment se construisent les petites filles d’aujourd’hui ? Si l’enfance en tant que groupe social est bien étudié, qu’en est-il du sous-groupe particulier des filles ? Vivent-elles une expérience de l’enfance spécifique ? Si oui, à quoi ressemble donc cette enfance conjuguée au féminin ? Que signifie être une "petite fille" au sein de nos sociétés occidentales contemporaines ?

* La fabrique de filles. Laure Mistral. Editions Syros, 2010.

A travers les témoignages de trois générations de filles et de femmes, cet ouvrage fait un état des lieux sur l’évolution du statut de la femme. Il montre que, malgré les changements de société opérés depuis quarante ans, des goûts et des conduites sont toujours imposés aux filles et aux femmes, dans les domaines parental, scolaire, commercial, professionnel ou politique.

* Contre les jouets sexistes. Collectif. Editions L’échappée, 2007.

Pourquoi trouve-t-on des pages bleues et des pages roses dans les catalogues de jouets ?. Pourquoi les petits garçons s’imaginent-ils journalistes, pilotes de course, cosmonautes ou aviateurs tandis que les petites filles disent simplement rêver... d’une maison ?. Des associations antisexistes (Mix-cité, le Collectif contre le publisexisme) prennent la parole dans cet ouvrage ambitieux et percutant, qui révèle l’ampleur de la discrimination sexiste que subissent les enfants et la manière dont se construisent le masculin et le féminin au travers des jouets et de leurs usages. Fruit de réflexions et d’expériences de lutte et de travail aussi bien individuelles (parents, instituteurs-trices, éducateurs-trices, etc.) que collectives (animation d’une campagne contre les jouets sexistes durant la période de Noël), ce livre propose des pistes pour combattre et faire reculer le sexismesexismeLe sexisme est une forme de discrimination qui impose un rapport hierarchique entre les deux sexes: c'est le fait de penser qu'un sexe est supérieur à un autre. Ce rapport hierarchique se fait généralement au détriment des femmes, en instaurant une domination masculine. Arme du patriarcat, le sexisme est présent dans toutes les sphères de la société.
Aujourd'hui les discriminations sexistes sont illégales dans la plupart des pays occidentaux mais elles continuent à perdurer quotidiennement.
au quotidien dès le plus jeune âge.

* Du Côté des petites filles. Elena Gianini Belotti. Editions Des femmes, 1994.

Du côté des petites filles est une analyse, fondée sur de très nombreuses observations qui rendent la lecture agréable et parfois amusante, de la vie de l’enfant selon qu’il est un garçon ou une fille. Comment l’enfant préexiste-t-il dans le désir de ses parents ? Comment est-il déjà conditionné par l’attente de ses parents ? Quelle répression lui fait-on subir s’il ne correspond pas aux souhaits des deux parents. La petite enfance, comment les enfants ont-ils intériorisé les conditionnements par sexe, les rôles sociaux qui leur correspondent ? Comment, en fait, sont-ils déjà des réductions d’adultes prêts à se conformer au modèle que conserve et transmet la société. Étude des fondements d’une éducation qui se transmet toujours à l’identique, de manière presque inconsciente, automatique. L’auteur montre comment elle est le résultat de toute une série de conditionnements passant par les jeux, les jouets, la littérature enfantine. Critique des méthodes pédagogiques, du manque presque total de préparation des enseignants, des rapports toujours faussés des instituteurs et institutrices avec les enfants. Seules les qualités " humaines " sont à développer et à favoriser, conclut l’auteur, et ceci pour le plus grand bénéfice de tous. Cet ouvrage connaît un immense succès (comme auparavant en Italie), il a été tiré à 250 000 exemplaires. Livre à recommander à tous ceux et celles qui s’occupent d’enfants soit dans le cadre d’un enseignement, soit dans le cadre d’activités culturelles diverses. Il est destiné non seulement aux enseignants, aux instituteurs et institutrices d’écoles maternelles mais encore au personnel des crèches, aux psychologues d’enfants, aux parents, et peut servir de base à une remise en question critique et productive de ces rôles et fonctions.

* Quoi de neuf chez les filles ? Entre stéréotypes et libertés. Christian Baudelot, Roger Establet. Editions Nathan, 2007.

Il est vif, elle est mignonne. Cela commence dès le berceau... et ne s’arrête plus. Aux garçons le bleu, les pirates, les combats, le charmant désordre. Aux filles, le rose, les loisirs d’intérieur et les cahiers bien tenus. En 1973, dans un ouvrage au retentissement mondial - Du côté des petites filles -, Gianini Belotti analysait les attitudes et les attentes des parents comme de la société à l’égard des filles et des garçons. Et pointait du doigt les stéréotypes et les conditionnements qui, dès la petite enfance, préparent les petites filles à leur future place dans la société, à l’ombre du sexe fort. Aujourd’hui, 35 ans plus tard, le féminisme est passé par-là, l’école est mixte, les mères travaillent, les pères font la vaisselle. Et quoi de neuf du côté de ces petites filles modernes - et de leurs frères ?

* Fille ou garçon : éducation sans préjugés. Catherine Valabrègue. Editions Magnard, 1985.

Essai de définition d’une éducation non sexiste. Préjugés et comportements sexistes dans les milieux éducatifs, et rénovation du système éducatif. Le poids de la famille et des médias dans l’orientation des filles. Le sexismesexismeLe sexisme est une forme de discrimination qui impose un rapport hierarchique entre les deux sexes: c'est le fait de penser qu'un sexe est supérieur à un autre. Ce rapport hierarchique se fait généralement au détriment des femmes, en instaurant une domination masculine. Arme du patriarcat, le sexisme est présent dans toutes les sphères de la société.
Aujourd'hui les discriminations sexistes sont illégales dans la plupart des pays occidentaux mais elles continuent à perdurer quotidiennement.
éducatif en Angleterre, Espagne, Belgique et au Québec. La formation initialement continue des enseignant(e)s et conseillers(ères) d’orientation. Fille ou garçon ; Education sans préjugés. Actes du colloque qui s’est tenu à Paris les 17 et 18 octobre 1984.

* L’éducation des jeunes filles il y a 100 ans : catalogue d’exposition. Musée national de l’éducation, 1983.

* Parent de fille, parent de garçon : les élève t’on de la même façon ? Hélène Montardre. Editions Les Essentiels Milan, 1999.

A l’heure de la parité, comment se construisent les différences et les inégalités entre sexes ? Comment le sexe se détermine-t-il sur le plan génétique ?

* L’identité sexuée. Gaïd Le Manner-Idrissi. Editions Dunod, 1997.

La prise de conscience de soi en tant que garçon ou fille ainsi que l’adhésion aux rôles et aux valeurs qui s’y rattachent constituent l’une des bases de la construction de l’identité individuelle. Cet ouvrage présente les différents modèles théoriques qui permettent de rendre compte et d’analyser cette dimension spécifique et fondamentale de l’identité. La réflexion s’organise autour de l’approche biologique, qui met en lumière la complexité du processus de différenciation des deux sexes. Elle se nourrit également Lire la suitedes recherches sur le rôle de l’entourage social et, plus particulièrement, sur celui des attitudes éducatives différenciées. Enfin, elle montre l’importance de l’activité propre de l’enfant dans l’appropriation des rôles sexués.

* L’école des filles : quelle formation pour quels rôles sociaux. Marie Durru-Bellat. Editions L’Harmattan, 1990.

Si filles et garçons font des scolarités différentes, n’est-ce pas, in fine parce qu’ils sont différents ? Pourtant, les recherches accumulées sur ces questions depuis trente ans convainquent de ce qu’on fait face, non pas à de simples différences, mais bien à de véritables inégalités. Certes des évolutions prennent place, notamment dans la société, qui se répercutent dans l’école. Il fallait donc actualiser "L’école des filles" paru en 1990, et présenter à la fois un bilan actuel de ces inégalités indissociablement scolaires et sociales, et dessiner les tendances qui augurent des évolutions à venir.

* Egalité des sexes en éducation et formation. Nicole Mosconi. Editions PUF, 1998.

* La récré expliquée aux parents : de la maternelle à l’école élémentaire, la vie quotidienne dans une cour d’école. Julie Delalande. Editions Audibert, 2003.

Tous les parents gardent en mémoire la cour de récréation qu’ils ont fréquentée lorsqu’ils étaient enfants. Chacun se souvient du bruit et du tumulte, des jeux partagés et des amitiés naissantes. Curieusement aucun livre n’a rendu compte de ces moments et de ce lieu privilégiés. Sait-on seulement ce que vivent les enfants entre eux et comment ils voient leur monde ? Pendant cinq années, Julie Delalande s’est installée, carnet de notes sur les genoux, dans plusieurs cours de récréation. Rien ne lui a échappé ; elle raconte aux parents comment les garçons " embêtent les filles ", comment on se bat " pour de vrai " ou " pour de faux ", quels sont les enjeux du " plouf-plouf " ou du goûter, comment naissent les chefs et les bouc-émissaires... Pour notre grand bonheur, elle explique aussi les subtilités de quelques jeux immuables, comme la corde à sauter et l’élastique, ou les billes, qui résistent à l’invasion des produits à la mode. Ce temps de liberté, qui suit les heures captives de la classe peut paraître à première vue chaotique ; il est au contraire très organisé par les enfants eux-mêmes qui s’imposent des règles intangibles. Car pour se faire accepter, il faut faire preuve de solidarité, de loyauté, de gentillesse ou montrer sa force. La tricherie, le mensonge ou le vol entraînent vite l’exclusion. Contrairement à bien des idées reçues, la récré n’a rien d’une jungle, elle est un lieu d’apprentissage fondamental.

* Le destin des femmes et l’école : manuels d’histoire et société. Denise Guillaume. Editions L’Harmattan, 1999.

Malgré les déclarations de principe, la notion d’égalité entre les femmes et les hommes semble difficile à mettre en pratique. Elle se heurte à des traditions, à des préjugés auxquels n’échappe pas le système éducatif. Pour mettre au jour le rôle de l’institution scolaire, l’auteur a exploré les manuels d’Histoire de l’école élémentaire et les instructions officielles qu’ils observent depuis la fin du XIXe siècle jusqu’à nos jours. Cette étude permet de mieux voir le chemin qui reste à parcourir.

* Ecole : inégalités de sexe Association nationale d’études féministes, 1999.

* L’égalité filles-garçons s’apprend dès l’école. Rapport officiel déposé par la députée Marie-Jo Zimmermann, 2008.

* Sociologie de l’évaluation scolaire. Pierre Merle. Editions PUF, 1998.

Les questions cruciales qui agitent actuellement l’institution éducative sont abordées : la notation, les décisions d’orientation et de redoublement, les spécificités des établissements et des maîtres efficaces, les liens entre dispositifs pédagogiques et performances scolaires des élèves.

* Femmes et savoir : la société, l’école et la division sexuelle des savoirs. Nicole Mosconi. Editions L’Harmattan, 1994.

* La représentation des hommes et des femmes dans les livres scolaires. Simone Rignault, Philippe Richert. Editions La Documentation Française, 1997.

* La mixité à l’école primaire. Claude Zaidman. Editions L’Harmattan, 1996.

Ce voyage au coeur de l’école primaire mixte conduit Claude Zaidman depuis la cour de récréation, avec ses jeux différenciés en fonction du sexe, à la salle de classe où les enseignants affirment un projet égalitaire et enfin à la salle des enseignants où la mixité se rejoue entre adultes.

Des séquences pédagogiques ont été filmées dans différentes classes. L’activité de la classe, ainsi prise sur le vif, permet de mieux comprendre comment s’organisent, au jour le jour, les relations entre maîtres et élèves, entre filles et garçons.

Analyser la façon dont l’école prend en compte la différence des sexes, c’est dégager, à partir d’une socialisation, le fonctionnement quotidien de l’école qui maintient ou transforme, questionne ou légitime ces différences.

Etudier la mixité scolaire, situation qui paraît aller de soi, c’est interroger au plus près l’école républicaine, miroir de la démocratie, dans son projet égalitaire et ouvrir la voie à une pédagogie de la citoyenneté qui inclut l’apprentissage de la façon dont les femmes et les hommes vivent ensemble dans l’espace social.

* Quelle mixité pour l’école ? Editions Albin Michel, 2004.

* Allez les filles !

Christian Baudelot, Roger Establet. Editions Le Seuil, 1992.

De la maternelle à la fac, les filles sont les meilleures. Et ce, partout dans le monde. Mais sur le marché du travail, elles ne sont ni les premières ni les mieux payées. Pourquoi un tel gâchis de compétences ?

Après plusieurs années d’enquête, les auteurs démontrent que si l’instruction des femmes a progressé en un siècle, la famille et les entreprises ralentissent insidieusement leur percée : filières et débouchés verrouillés, préjugés culturels… Au final, les filles accumulent un meilleur capital, les garçons gèrent mieux leurs acquis. Il suffirait d’un petit effort pour la situation change. Allez les filles !

Tâches domestiques

* Partage des temps et des tâches dans les ménages

Marie-Agnès Barrere-Maurisson. Editions La documentation française, 2001.

* L’injustice ménagère : pourquoi les femmes en font-elles toujours autant ? Les raisons des inégalités de travail domestiques

François De Singly, dir. Editions Armand Colin, 2007.

Voici une enquête passionnante sur un sujet qui fait particulièrement débat : la persistance d’un surinvestissement féminin dans les tâches ménagères, malgré le féminisme, et malgré une apparente évolution des mentalités. Maintien de la domination masculine ? Intériorisation séculaire par les femmes de leur « rôle » d’âme du foyer ? Rien n’est aussi simple : le grand intérêt de cet ouvrage est qu’il permet de dépasser les explications toutes faites. F. de Singly et les jeunes sociologues dont il s’est entouré appréhendent ainsi les liens entre inégalité et injustice ménagère sur la base de trois « terrains » qui ont donné lieu à des entretiens d’une grande richesse. Ces travaux nous restituent les différentes manières dont les femmes elles-mêmes, au-delà d’un mécontentement sous-jacent, « justifient », voire revendiquent cette distribution inégalitaire du travail domestique, pouvant aller jusqu’à rejeter le contrôle masculin sur ce territoire de leur quotidien, tout en demandant alors d’autres preuves d’attention. L’égalité ne serait-elle que l’un des enjeux de la relation conjugale ? Comment dès lors lutter contre l’injustice ménagère ?

Histoire

* La vie des femmes au moyen-âge Sophie Cassagnes-Brouquet

Loin de toute idéalisation ou de tout pathos suscité par une condition féminine forcément dégradée, ce livre offre, à l’aide de textes peu connus et d’une iconographie originale, une vision plus nuancée et sans doute plus réaliste. La femme y est dévoilée dans toute la diversité de ses âges et de ses conditions sociales, depuis la petite fille jusqu’à la veuve, en mettant l’accent sur sa place dans la famille, les rapports au sein du couple, la sexualité et le rôle primordial de la maternité. Ce sont des femmes actives, travaillant aussi bien à la ville qu’à la campagne, des femmes d’argent et de pouvoir, des intellectuelles et des religieuses, mais aussi des exclues et des marginales qui seront tour à tour présentées au travers de quelques figures éminentes comme Hildegarde de Bingen, Christine de Pizan, Aliénor d’Aquitaine, etc. Femmes réelles et femmes fantasmées comme Mélusine, Iseult ou Guenièvre, les femmes sont au coeur du discours du Moyen Âge, entre louange et misogynie. La « querelle des femmes » bat son plein à la fin du Moyen Âge : face à la longue tradition misogyne des clercs et des chevaliers, s’élèvent les premières voix qui prennent la défense des femmes. Modèles et contre-modèles offrent aux filles d’Eve des exemples à suivre et à méditer. Un Moyen Âge, à la fois si lointain et si proche, qui ne peut que parler au coeur des femmes et des hommes de notre temps.

* Histoire des femmes : le 19e siècle. Geneviève Fraisse, Michelle Perrot, dir

* L’histoire du travail des femmes Françoise Battagliola

* L’éducation des jeunes filles il y a 100 ans : catalogue d’exposition

* L’amour en plus : histoire de l’amour maternel (XVIIe-XXe siècle) Elisabeth Badinter

L’amour maternel est-il un instinct qui procéderait d’une " nature féminine ", ou bien relève-t-il largement d’un comportement social, variable selon les époques et les mœurs ? Tel est l’enjeu du débat qu’étudie Elisabeth Badinter, au fil d’une très précise enquête historique menée avec lucidité mais non sans passion. L’amour en plus, un livre passionnant, dérangeant.

* Les femmes au quotidien de 1750 à nos jours Marie-Odile Mergnac

On lit souvent des propos du genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques. « La femme au XIXe siècle était comme ci, celle du XVIIIe siècle comme ça... ». Or, il n’y a pas une femme, mais des femmes. Lorsqu’on en parle au singu¬lier, c’est qu’on évoque seulement celle qui a laissé des écrits, publié des mémoires, bref la femme issue de la noblesse ou de la haute bourgeoisie, la femme lettrée, femme de lettres parfois. Comme ces dictionnaires qui mettent des vignettes sur les costumes du Moyen Âge à nos jours et qui ne dessinent que des costumes de cour : les petits écoliers sont persuadés, en toute bonne foi, que leur aïeule portait sous Louis XIV une haute perruque poudrée garnie de perles et de plumes ainsi qu’une vaste robe à cerceaux. Combien de femmes étaient habillées ainsi en réalité ? Une toute petite minorité. La minorité qu’on appelait à la Belle Époque « le monde » ou « la société », comme s’il n’existait rien en dehors d’elle.

C’est tout le mérite de cet ouvrage de tenter d’aborder, époque par époque, les diffé¬rentes conditions féminines. Synthèses et portraits issus de généalogies ou d’interviews se succèdent pour approcher au mieux et de façon très vivante, la multiplicité des parcours. Une approche originale qui permet une véritable compréhension du passé.

Image, médias, publicité

* Quels modèles pour les filles ? Une recherche sur les albums illustrés

Sylvie Cromer, Adela Turin

* Que voient les enfants dans les livres d’images ? Des réponses sur les stéréotypes

Sylvie Cromer, Adela Turin

* Dites le avec des femmes : le sexismesexismeLe sexisme est une forme de discrimination qui impose un rapport hierarchique entre les deux sexes: c'est le fait de penser qu'un sexe est supérieur à un autre. Ce rapport hierarchique se fait généralement au détriment des femmes, en instaurant une domination masculine. Arme du patriarcat, le sexisme est présent dans toutes les sphères de la société.
Aujourd'hui les discriminations sexistes sont illégales dans la plupart des pays occidentaux mais elles continuent à perdurer quotidiennement.
ordinaire dans les médias

Virginie Barré, Sylvie Debras, Natacha Henry, Monique Trancard

* L’image des femmes dans la publicité

Brigitte Grésy, dir.

* La représentation des hommes et des femmes dans les livres scolaires

Simone Rignault, Philippe Richert

Langage

* Les mots et les femmes

Marina Yaguello

Essai d’approche socio-linguistique de la condition féminine

* Le sexe des mots

Marina Yaguello

Pourquoi certains noms d’agent sont-ils privés de féminin ? (écrivain, ministre, docteur...) Qu’est-ce qui fait obstacle à leur féminisation ? La grammaire ou la société ? Pourquoi les termes " génériques " désignant des humains sont-ils masculins ? Le fait que les espèces animales soient désignées au masculin (le lion) ou au féminin (la souris) a-t-il un sens ? Comment se fait-il que des termes du registre militaire comme ordonnance ou sentinelle soient féminins alors qu’ils concernent des hommes ? Quels sont les noms d’agent dont le masculin est dérivé du féminin ? Pourquoi les injures comme fripouille ou canaille ont-elles tendance à être du féminin ? Qu’est-ce qu’un mot épicène ? Pourquoi les machines sont-elles du féminin ? En quoi la Lune s’oppose-t-elle symboliquement au Soleil ? Comment s’expliquent les changements de genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques., si fréquents dans l’histoire de la langue ? (amour, aigle, horloge, jument...) Quels sont les mots à genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques. fluctuant ? (équivoque, astérisque, autoroute...) C’est à toutes ces questions que répond ici, de façon érudite mais jamais pédante, Marina Yaguello, professeur à l’université Paris VII, auteur, notamment d’"Alice au pays du langage" et du "Catalogue des idées reçues sur la langue".

Travail, précarité, aspects économiques

* L’histoire du travail des femmes

Françoise Battagliola

* Hommes/femmes l’introuvable égalité : école, travail, couple, espace public

Alain Bihr, Roland Pfefferkorn

* Le deuxième âge de l’émancipation : la société, les femmes et l’emploi

Dominique Méda, Hélène Périvier

* Travail et emploi des femmes

Margaret Maruani

* Les inégalités entre les femmes et les hommes : les facteurs de précarité

Françoise Milewski

* Egalité entre femmes et hommes : aspects économiques Béatrice Majnoni d’Intignano

* Le travail du genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques. : les sciences sociales du travail à l’épreuve des différences de sexe

Jacqueline Laufer, Catherine Marry, Margaret Maruani, dir.

* Les femmes et le travail : nouvelles inégalités, nouveaux enjeux

Rachel Silvera, dir

Famille, couple

* Le soi, le couple et la famille

François de Singly

* Couple, filiation et parenté aujourd’hui : le droit aux mutations de la famille et de la vie privée

Irène Théry

* Sociologie du couple

Jean-Claude Kaufmann

* La trame conjugale : analyse du couple par son linge

Jean-Claude Kaufmann

* Sociologie de la famille contemporaine

François de Singly

* La formation du couple

Michel Bozon, François Héran

* L’argent dans le couple. Peut-on s’aimer sans compter ?

Bernard Prieur et Sophie Guillou

* La politique de la famille

Jacques Commaille, Pierre Strobel, Michel Villac

* Les "nouvelles familles" : l’état de l’enfance en France

Gabriel Langouët, dir.

* Familles : permanence et métamorphoses

Jean-François Dortier

Ouvrages classés par auteur.e.s

* Alter égaux : invitation au féminisme

Clémentine Autain

* Les droits des femmes : l’inégalité en question

Clémentine Autain

Au XXe siècle, la place des femmes dans la société a été bouleversée : scolarisation, droit de vote, entrée massive dans le monde du travail, droit à la contraception et à l’avortement… En dépit d’avancées considérables, l’égalité entre les sexes est loin d’être réalisée.

Abordant un champ vaste de questions, de l’emploi aux violences faites aux femmes, en passant par l’éducation, la famille et la vie publique, ce guide offre un état des lieux des droits des femmes en France. Il met l’accent sur l’écart entre l’égalité juridique et les inégalités sociales.

A partir de 15 ans.

* L’un est l’autre : des relations entre hommes et femmes

Elisabeth Badinter

Aujourd’hui, l’égalité réelle entre hommes et femmes met un terme au modèle millénaire de la complémentarité, complémentarité heureuse (l’homme avec la femme) ou conflictuelle (l’homme contre la femme). Un nouveau modèle s’élabore sous nos yeux : la ressemblance des sexes. Plus qu’une révolution des mœurs, Élisabeth Badinter y voit une véritable mutation et la mise en question de notre identité à laquelle beaucoup ne sont pas encore prêts.

X Y de l’identité masculine

Elisabeth Badinter

Le mouvement des femmes a fait voler en éclats toutes les idées traditionnelles sur virilité et féminité. Longtemps la masculinité a paru aller de soi. Chaque homme se devait de ressembler à un idéal bien campé dans la culture. Désormais, au contraire, les hommes sont amenés à s’interroger sur une identité que la formule chromosomique XY ne suffit pas à définir. Dépassant la vieille querelle du féminisme contre phallocratie et machisme, Elisabeth Badinter dessine, dans cet essai, les contours encore flous du nouvel homme que notre siècle est en train d’inventer, et qui cessera enfin de refouler une part essentielle de lui-même. Prélude à une nouvelle harmonie des sexes ?

* Ce que soulève la jupe :

identités, transgressions, résistances

Christine Bard

Etude sur la dimension politique et sociale de ce vêtement, attribut controversé de la féminité et dont le port est revendiqué comme une nouvelle liberté pour les hommes.

Après une histoire de la jupe en Occident, l’historienne s’interroge sur la jupe comme signe de la soumission à l’ordre masculin, attribut de féminité reconquise, ou signe de provocation ou désir d’égalité pour les hommes.

* Egalité entre les sexes : mixité et démocratie

Claudine Baudoux, Claude Zaidman, dir

* Le deuxième sexe (tome 1 et tome 2)

Simone de Beauvoir

Tome 1 :

Nous commencerons par discuter les points de vue pris sur la femme par la biologie, la psychanalyse, le matérialisme historique. Nous essaierons de montrer ensuite positivement comment la "réalité féminine" s’est constituée, pourquoi la femme a été définie comme l’Autre et quelles en ont été les conséquences du point de vue des hommes. Alors nous décrirons du point de vue des femmes le monde tel qu’il leur est proposé ; et nous pourrons comprendre à quelles difficultés elles se heurtent au moment où, essayant de s’évader de la sphère qui leur a été jusqu’à présent assignée, elles prétendent participer au mitsein humain.

Tome 2 :

Comment la femme fait-elle l’apprentissage de sa condition, comment l’éprouve-t-elle, dans quel univers se trouve-t-elle enfermée, quelles évasions lui sont permises, voilà ce que je chercherai à décrire. Alors seulement nous pourrons comprendre quels problèmes se posent aux femmes qui, héritant d’un lourd passé, s’efforcent de forger un avenir nouveau. Quand j’emploie les mots "femme" ou "féminin" je ne me réfère évidemment à aucun archétype, à aucune immuable essence ; après la plupart de mes affirmations il faut sous-entendre "dans l’état actuel de l’éducation et des mœurs". Il ne s’agit pas ici d’énoncer des vérités éternelles mais de décrire le fond commun sur lequel s’enlève toute existence féminine singulière.

* La dialectique des rapports hommes/femmes

Thierry Bloss, dir.

Quatrième de couverture :

En dépit d’un rapprochement dans les comportements et des trajectoires des hommes et des femmes au cours de ces dernières années, les discriminations de sexe persistent dans la plupart des sociétés et continuent à établir concrètement des différences de fonctions, de statuts, de droits et de devoirs.

L’histoire française contemporaine n’échappe pas à cette tendance. L’engouement des sciences sociales pour comprendre l’état des relations entre les hommes et les femmes, l’étendue des domaines étudiés (école, travail, famille, sexualité, modes de vie, etc.) révèlent l’importance des enjeux que représente la division sexuée des rôles dans l’évolution de nos sociétés.

Tout en mettant l’accent sur- les changements intervenus dans les relations hommes-femmes, dans la vie privée et publique, cet ouvrage fait apparaître la permanence d’un principe de domination masculine.

La reproduction des rapports sociaux entre les sexes est en effet contrastée, l’émancipation des rapports hommes-femmes côtoyant au quotidien le conservatisme des mentalités, ancré dans les inégalités de classe.

L’idée centrale qui traverse cet ouvrage est que ces changements produisent des effets contradictoires. Les diverses contributions invitent à constater que ce principe du changement contradictoire s’applique à l’ensemble des pratiques sociales.

La dynamique des rapports hommes-femmes est décidément dialectique ! En guise de générique, cette formule atteste qu’en ce début du troisième millénaire la voie vers l’égalité entre les sexes reste plus que jamais incertaine, essentiellement parce que ce processus n’aboutit pas toujours aux résultats espérés et s’accompagne de tendances contraires qui en réduisent la portée.

* L’encadrement supérieur de la fonction publique : vers l’égalité entre les hommes et les femmes

Anne-Marie Colmou

* Féminin masculin

Michèle Ferrand

* Le mélange des sexes

Geneviève Fraisse

* Que veulent les filles ?

Yveline Fumat, Leïla Acherar, dir

* Féminins/masculins : sociologie du genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques.

Christine Guionnet, Erik Neveu

" Fille ou garçon ", telle est la première question posée à la naissance de tout humain... Mais, curieusement, les effets de la différence sexuelle, contrairement à ceux de l’âge ou de la scolarisation, n’ont guère fait en France l’objet de textes de synthèse qui puissent éclairer les étudiants et chercheurs. Le présent ouvrage vient à point pour combler cette carence. Celle-ci doit à la réticence de l’université à intégrer une problématique soupçonnée de " féminisme ", ainsi qu’au caractère pluridisciplinaire de questionnements où travaillent sans toujours se rencontrer sociologues, historien (ne) s, ethnologues ou politistes ; elle provient enfin du caractère peu accessible d’une littérature en bonne part anglophone. On trouvera donc ici les bases d’une sociologie du " genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques. ", dégagées dans la fidélité à un double choix : 1. Penser la différence masculin/féminin comme une construction socio-historique irréductible aux conséquences des différences anatomiques ou biologiques ; 2. Penser le masculin et le féminin comme également susceptibles d’un questionnement relationnel, quand le réflexe androcentrique et paresseux consiste souvent à penser le féminin comme le seul genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques. problématique. Les six chapitres du livre font le point sur autant de facettes du genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques.. Comment s’opère la production des identités de genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques. ? Quel éclairage les sciences sociales apportent-elles sur la sexualité ? Hommes et femmes sont-ils interchangeables dans leur rapport au travail ? Leurs loisirs et leur sociabilité (amitiés, échanges) sont-ils identiques ? Comment le genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques. joue-t-il en politique ? Quelle place accorder aux débats sur la " domination " masculine, à l’hypothèse d’une crise des identités de genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques. ? Conçu comme une initiation claire et rigoureuse, ce manuel fournira à l’étudiant comme au public averti les outils de base pour penser sociologiquement le(s) masculin et le(s) féminin, sans les figer dans des essences éternelles, et en les articulant à d’autres fondamentaux des sciences sociales (CSP, âge, diplôme...). Il concerne à ce titre une grande diversité de disciplines où la question du genregenreCe terme est promu par l'histoire des femmes depuis le milieu des années 1980. En parlant de genre, on entend que la condition et l'identité des femmes comme des hommes sont le résultat d'une construction sociale et culturelle dans un contexte donné. Cette conception s'oppose aux idées essentialistes selon lesquelles l'identité féminine ou masculine dépend presque exclusivement des différences biologiques. acquiert une place et une légitimité croissantes : sociologie, histoire, science politique, anthropologie.


calle
calle
calle

Propulsé par SPIP 1.9.2b [9381] | Habillé par egt | Optimisé pour SPIP 1.9.2b [9381] | accessibilité | Archives